La Nouvelle République parle d’un de nos clients, la famille Huguet, dans le Loir-et-Cher : malgré une année difficile, les Huguet sont contents d’avoir pu récolter leurs premières betteraves bios.
Ils dressent le bilan de cette première récolte entre hausse des coûts, baisse des quantités mais meilleure de rémunération à la tonne. « On est sur 3.500 € à l’hectare. On ne va pas perdre d’argent, mais on ne va pas en gagner non plus », précisent les Huguet
Pour répartir les risques, la famille mise sur une dizaine de cultures différentes. Les épinards n’ont par exemple rien donner cette année, mais Pascal Huguet voit dans le bio une opportunité de se démarquer de la concurrence mondiale.